Comedia debilis
Vendredi 13 mai 1964.
C’est la guerre froide mais en vrai c’est chaud.
Un groupe de bombardiers américains a reçu par erreur l’ordre de bombarder Moscou.
Il faut le rappeler.
Il n’y a pas beaucoup de temps…
Mais un peu.
Mais pas beaucoup.
Mais un peu.
Alors soyez calmes.
À travers le prisme de la guerre froide et des USA, NO LIMIT raconte la condamnation de l’espèce humaine par l’espèce humaine. Le sujet est grave, mais j’ai décidé de m’en emparer avec humour. NO LIMIT est constamment sur un fil, sans jamais tomber du mauvais côté, celui de la vulgarité ou de la facilité. L’humour d’accord, mais l’exigence d’abord.
- Robin Goupil